2432, les humains se sont répartis dans l'univers, explorant les Nouveaux Mondes, les colonisant même. Seuls les mondes hyadims et pleïadims ont su résister à leur invasion. Mais alors que chacun vit naturellement sa vie, des oiseaux de lumière voyagent dans l'espace. Nul ne sait d'où ils viennent ni qui ils sont. Personne n'a jamais réussi à communiquer avec eux. Ils semblent entièrement fait de lumière solidaire. Mais dès qu'une approche trop directe est faite, ils voyagent alors dans des spectres invisibles pour l'homme et indétectables pour les machines.
Pendant quelques années, la chasse a fait des ravages parmi ces rares oiseaux. Mais à présent celle-ci est interdite par le GRIS, l'organe de sécurité du CNM.
Frieda Koulouris rêve de rencontrer ces oiseaux, ne serait-ce que pour les observer de près. Elle va demander l'aide de Oap Täo, un contrebandier recherché dans l'univers entier et criblé de dettes. Se joindra à eux la mystérieuse et sensuelle Hu-Reï, et leur voyage leur fera découvrir des secrets inconnus jusqu'alors, et des parties d'eux-mêmes qu'ils n'auraient pas imaginées.
N'étant pas fan à priori de science-fiction, j'ai plongé avec plaisir dans ce roman qui raconte une histoire intéressante et originale. Certains clichés sont toutefois présents, le plus gros étant l'image du contrebandier qui rappelle évidement Ian Solo. Mais ceci n'enlève en rien à l'intérêt du roman.
Non content d'être un très bon roman de SF, Les oiseaux de lumière est aussi un hymne à la tolérance et à l'amour. Aucun passage gnan-gnan, mais beaucoup de réflexion suscitée.
Une bonne oeuvre si on veut passer un excellent moment.
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