Lyon, durant la fête du 8 décembre, le photographe journaliste Richard Millet se fait proprement corriger par une bande de malfrats aux masques blancs, avant de retrouver son appartement saccagé.
Au même moment, son frère Paul commissaire de police, doit gérer à la fois des hold-up redoublant d'audace et de sauvagerie, et des disparitions inexpliquées de jeunes filles de bonne famille. Nos fins limiers devinent que les trois affaires sont liées et se lancent dans une enquête aussi mouvementée que sanglante.
Voici un bon petit roman de gare qui se lit sans difficulté. Les deux auteurs sont journalistes et adorent les polars à la française, ce livre n'invente donc pas la poudre mais ne contient pas d'erreur flagrante. Le style conforme au polar nous permet de le dévorer en une soirée et l'histoire se tient bien.
En gros, à découvrir si on veut souffler entre deux pavés fantastiques issus de Bragelonne ou Nestiveqnen.