Dans un salon mondain, un homme, Sylvain, parle avec un de ses amis de sa fille qui semble avoir une sorte de don. Ce qui lui permet d'affirmer cela ? Les dernières courses de chevaux pour lesquelles elle avait réussit à prédire les gagnants. De la chance ? Peut-être. Mais le fait que Victoria passe autant de temps à décortiquer les journaux de la journée et isole des mots reste perturbant.
Surtout lorsqu'elle isole des informations qui auraient pu permettre d'empêcher des catastrophes de se produire, comme ce train qui dérailla. C'est dans ce contexte que va débarquer Jack Lord, ancien mari de Lady Elza Rochester, dans la vie de Victoria. Et la tante de cette dernière, Alicia, ne semble pas non plus complètement innocente, sans pourtant avoir un comportement totalement louche.
Une affaire que le journaliste ne va pouvoir laissé passer.
Une histoire assez alambiquée dans un contexte mondain et classique. Un mélange étonnant servi par un dessin typé. Des pointes d'humour bien senties. Bref, tout ce qu'il faut pour faire passer un agréable moment avec cette bande dessinée.
Attention cependant, si vous cherchez les deux premiers volumes de cette série, ne criez pas au scandale en ne les découvrant pas dans le catalogue de Dupuis. Ils avaient été édités chez Casterman.
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