Les Chroniques de l'Imaginaire

24 (24 - 1)

Ne sachant pas pourquoi en France cela s'appelle 24 heures chrono, parce que 24 suffit amplement, je vais continuer à appeler cette série 24. Comme beaucoup de monde, j'avais entendu parler de cette série, sans l'avoir vu (et oui, c'est encore une série où, quand on loupe le premier épisode, vaut mieux attendra la rediffusion !). Maintenant que c'est fait, je n'attend plus qu'une chose : pouvoir voir le plus rapidement possible la saison 2 !

C'est en effet un concentré brut de suspense, d'action, d'intrigue, de rebondissements... bref, de tout ce qui fait une bonne série. Le concept même joue beaucoup, parce qu'il faut tenir le spectateur en haleine, tout en lui en donnant pour son compte. Sinon, il est clair que les gens n'auraient pas tenu. Donc, nous avons 24 épisodes, qui correspondent aux 24 heures de la journée infernale que va vivre Jack Bauer. Bon, comme ce sont des épisodes d'une série américaine et qu'il faut bien caser le quart d'heure de publicités, un épisode ne fait que 40-42 minutes.

En gros, l'histoire : Jack Bauer, agent de la cellule anti-terroriste se fait convoquer un soir (genre vers minuit, histoire de commencer la journée simplement) en toute urgence. Des informations sérieuses indiquent qu'une attaque contre le sénateur Palmer, candidat à la présidence va avoir lieu dans la journée. Ah oui, j'oubliais, on est le jour des primaires de Californie. Donc, coup de speed, qui va s'accélérer encore un peu avec l'histoire de Kim, la fille de Jack, qui a disparue alors qu'elle devait rester à la maison. Les parents ne savent pas où la chercher et commencent à paniquer. Et là-dessus, les intrigues et les situations à débrouiller vont s'enchaîner à un rythme d'enfer.

Bref, je ne vais pas encore parler des heures, je pense que vous aurez aisément compris que j'ai adoré cette série. Bien sûr, il y a quelques incohérence parfois, surtout dans les déplacements, parce qu'ils ne pourraient pas couvrir autant de kilomètres en si peu de temps, mais la qualité est tellement là que ces détails passent au second plan.

Par contre, un conseil : si vous en avez la possibilité, regardez la série dans son intégralité en une seule fois, vous vivrez ainsi réellement au rythme de la famille Bauer.

Dernière chose : la fin est absolument infecte pour le téléspectateur qui veut la suite dans la minute qui suit ! ...et c'est bon une fin comme ça !