Kosumo Koganehara a reçu par transplantation cardiaque le coeur d'une Himiko, une prêtresse du nom de Himiko. Elle réalise bientôt que la prêtresse ne lui a pas fait seulement don de son coeur, mais de son âme et de ses pouvoirs magiques. Bientôt se présente à elle un homme taciturne du nom de Hitsugi, qui se présente comme le protecteur du coeur et de l'âme de la prêtresse décédée. Mais les choses se compliquent quand le corps de Himiko revient soudainement à la vie
L'Eternité peut-être est un shôjo très fleur bleue, dans la veine d'un Alice 19th ou d'un R-G Veda (oui, bon, R-G Veda est plus qu'un shôjo mais bon). Ce cinquième volume débute en pleine situation de crise, puisque Himiko vient de voir son « vrai visage » dans le miroir du large, et par voie de fait a compris qu'elle n'était plus qu'un corps sans âme. Elle décide alors de se suicider. Mais les choses ne s'arrêtent pas là, car une menace plus grande encore plane sur Kosumo, à commencer par le mystérieux Tenrô Kagemasa, un prêtre shinto aux puissants pouvoirs.
Difficile de rentrer dans l'histoire par le cinquième volume. Je ne peux vraiment donner mon avis sur ce manga, si ce n'est que les dessins sont plutôt classiques, que la principale originalité est de recycler la symbolique shinto et les rituels qui l'accompagnent, et qu'il est parfois difficile de cerner les motivations respectives des personnages, ce qui peut constituer un atout comme un inconvénient. Je ne sais pas si c'est moi qui n'ait rien compris ou s'il n'y avait rien à comprendre, mais dans tout les cas, ne commencez pas par le 5ème volume.
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