D'un côté on a Lagrima, qui va devoir convaincre les " rats " qu'elle n'est pas un agent venu pour les dénoncer ni pour leur faire du mal. Et, quand on n'a connu que la misère et l'oppression, on n'est pas enclin à croire le premier venu. De l'autre, on a les dirigeants de la HAND qui commence à soupçonner deux des leurs d'avoir essayer de les doubler avec le clonage. Mais avec des êtres aussi puissants et imbus d'eux-mêmes, rien n'est jamais aisé à régler, même pour des êtres du même acabit qu'eux.
On saute du coq à l'âne, on se perd dans les rêves et dans les méandres obscurs des visions et des hallucinations, tout ça pour mieux installer une ambiance psychédélique et une impression désagréable de manipulation. Et c'est parfaitement réussit. On est comme Lagrima, manipulés par Pelot, et à sa merci.
La fin s'annonce cependant pour bientôt.
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