Les Chroniques de l'Imaginaire Bannière du site

Pavillon noir sur la Capricieuse (Anachron - 5) - Cailleteau, Thierry & Jurion, Joël

Mots clés : chronique avis bande dessinée bd européenne science fiction

Enzo Lupin, escroc intergalactique, s'est installé sur Anachron, dans le but de revendre sous forme d'artefact des technologies qui n'existent pas encore sur ce monde. Poursuivi par des agents de l'Alliance muni d'un mandat d'arrêt interplanétaire, il est arrêté, mais parvient à s'enfuir peu après.

Dans l'espace, Hugo, Wodan et Marconius prêtent le serment d'allégeance, qui fait d'eux des agents de l'Alliance, affectés au forces d'intervention. Pendant la beuver... heu non la petite fête qui s'ensuit, ils sont appelés par Falgant, qui est devenu Haut Commissaire de l'Alliance. Celui-ci leur donne pour première mission de capturer Enzo Lupin, afin de l'empêcher de continuer à se livrer à ses petites combines illégales.

Leur mission commence en tant que naufragés volontaires. Ils se font recueillir à bord de La Capricieuse, un navire pirate dont l'équipage est exclusivement masculin, et qui est sous le commandement de Barberase, une femme pirate qui a une réputation de femme indomptable et rancunière.

Et une histoire supplémentaire pour les héros des quatre premiers tomes d'Anachron. Ici point d'Ysoldine, mais une femme pirate, qui a la réputation de ne pas s'en laisser conter par quiconque. Avec toujours ces pointes d'humour qui dédramatisent les pires situations, nos héros arrivent à se sortir des situations les plus bizarres et les plus dangereuses. Une sorte de Club des 5 version adulte en somme. ^^Toujours aussi sympa à lire, donc. On notera que cette histoire peut se lire complétement indépendamment des quatre autres tomes de la série.

Editeur : Vents d'Ouest
Année de publication : 2005
Nombre de pages : 48
ISBN 13 : 2-7493-0193-9
ISBN 10 / ASIN : 2749301939
Prix : 12
Devise : €
Illustration principale

Cette page est une version simplifiée pour les robots. Pour profiter d'une version humaine plus conviviale, cliquez ici.