Aëla Maguelonne est maintenant une jeune femme. Insoumise et aussi rebelle que peut l'être son Abîme, Jang-al, elle ne cesse d'accumuler les réprimandes de la part des autorités de circulation spatiale. Qui plus est, à quoi peut-être bien servir étant donné que son vaisseau-animal refuse de prendre qui que ce soit à son bord à part sa perl. Et ce n'est pas le fait de plonger dans l'axe central d'Agora qui arrange les choses.
Chaddy Meretta est une autre jeune femme, mais journaliste, ou en passe de le devenir. Surtout depuis qu'elle a réussit à filmer la dernière prouesse acrobatique d'Aëla et de Jang-al. Seulement, d'autres révélations vont l'obliger à mettre un peu d'eau dans son vin et à essayer d'apprendre à connaître des personnes qui ne portent pas sa famille dans leur cur.
Malgré leurs rivalités, ces deux femmes vont-elles réussir à s'entendre ?
Troisième et dernier tome de cette trilogie, ce roman peut quand même se lire de manière indépendant des deux autres. Il montre le parcourt de deux jeunes femmes et de ce qu'elles vont devoir faire pour devenir vraiment femmes. Et même plus que ça
Le monde décrit par Danielle Martinigol n'est pas inintéressant et le concept des vaisseaux qui sont en fait des animaux très bien trouvé. Ce n'est pas sans me rappeler quelques épisodes de comics de quand j'étais plus jeune. Mais le plus important est les relations que ces mastodontes peuvent créer avec de frêles créatures comme les humains. Relations qui peuvent aller jusqu'à l'exclusivité, comme on le verra dans ce tome.
Encore une fois, un hymne à la recherche de la compréhension de l'autre.
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