Le prévôt Ogier vient, une nouvelle fois, d'échapper à une tentative d'assassinat contre sa personne. Une tentative vicieuse à la chemise empoisonnée ! À peine remis, il va décider de trouver le coupable, tout en étant persuadé que Gritti, le propre fils du Doge de Venise auquel il doit sa place, en est l'instigateur. C'est avec force volonté et l'aide de ses compagnons, Antonio Garofette et Conrad, son Kamerad, qu'il va mener son enquête.
Seulement, les autorités en place ne voient toujours pas d'un bon il les méthodes d'Ogier et son envie de trouver absolument un coupable parmi les notables de la ville. De plus, son franc-parler ne semble pas convenir à sa position. Mais ce ne sont que des détails, et Ogier va aller toujours plus en avant pour mettre la main sur le meurtrier du jeune poète mort à sa place dans le bateau.
Nous retrouvons ainsi le prévôt Ogier dans la suite de son enquête. Fidèle à lui-même, il n'arrive toujours pas à se taire quand il le faut. La politique n'est vraiment pas son truc ! Je ne peux qu'approuver Sinon, pas de grands bouleversements. L'enquête suit son cours et on en apprend toujours un peu plus, surtout vers la fin du tome. Le troisième promet, d'ailleurs, d'être assez coloré ! Vivement qu'il sorte.
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