Milo répare comme elle le peut le Nautilus n°2 alors que son capitaine, Hookin, et son barreur, Galilei, le font avancer tant bien que mal depuis la fuite de New Tonkin. En chemin vers Bawrigang, ils aperçoivent la silhouette d'un gros navire en forme d'île. Hookin la nomme "Le château des Renardes". Ils y sont accueillis par l'ingénieur en chef, Curie, qui accepte leur présence en échange d'un peu d'aide pour réparer leur île flottante. Milo ne peut s'empêcher de mettre son grain de sel, et la voilà partie pour chercher des pièces de récupération afin de créer un moyen de rejoindre la fuite d'huile, autrement inaccessible. Ce faisant, elle trouve une étrange poupée mécanique et deux jeunes et belles femmes qui la saluent.
Deuxième volet sur trois des aventures de Milo, et le ton est le même que dans le précédent. Ici la principale avancée est dans la connaissance des ennemis qui poursuivent Hookin, en particulier sur leurs méthodes pour faire avancer leurs armements mais aussi sur les raisons de faire construire tout cet armement. Milo découvre aussi qu'il existe un culte donc le blason est le même que celui sur son Balkan, le soleil. Je préfère ne pas en dire beaucoup plus pour éviter de dévoiler l'intrigue.
En tout cas, on y retrouve une Milo indépendante, pétillante et inventive ; un Edison Stein renouvelé mais toujours aussi peu bavard, et une mystère planant sur le personnage nommé Albert. A-t-il changé ou son but est-il encore caché de tous ? Le volume trois sera celui du dénouement.
