Il semblerait qu'aujourd'hui l'ennemi principal d'Asphodèle ne soit plus le Cénacle, même si tous ses membres en sont arrivés à la haïr pour ce qu'elle est censée avoir fait. Bowman, un psychopathe doublé d'un mégalomane, la retient prisonnière dans une prison de luxe avec piscine et tout le confort (les électrochocs sont gracieusement offerts par la maison). Et il semble connaître Asphodèle, et désirer en faire son jouet, depuis très très longtemps.
Pendant ce temps, Andrews mène une bataille psychologique contre Franklin. Il est persuadé que c'est lui qui détient Asphodèle, et compte bien tout faire pour la libérer. Quelqu'en soit le prix. Seulement, les choses ne se passent pas exactement comme il l'avait prévu et Franklin meurt. Le voici donc à nouveau dans une impasse.
Mais le temps est compté
Deux nouvelles histoires. Deux nouveaux mois. Et une nouvelle performance d'auteurs. Bon, d'accord, je veux bien admettre que certaines cases auraient méritées plus de travail, mais avec le peu de temps dont dispose Défali, ce n'est pas si simple. Je veux bien aussi admettre qu'il y a beaucoup d'explicatif par le flashback dans ce tome. Cela n'en reste pas moins une histoire qu'on quitte difficilement et dont on a évidemment envie de connaître la fin.
Une palme spéciale est quand même à décerner à Neil Steppleton, une vraie ordure comme on les adore dans les histoires.
Cette page est une version simplifiée pour les robots. Pour profiter d'une version humaine plus conviviale, cliquez ici.
