Rapidité ? oui, c'est indéniable. Précision ? assurément. Sécurité ? Il faut bien avouer que notre coursier de l'impossible fait tout ce qu'il peut pour que les documents qui lui sont confiés ne tombent pas entre de mauvaises mains. Utilisant subterfuges et malice, Banya tente l'impossible en essayant de délivrer son courrier et en sauvant Mei des griffes de ceux qui le poursuit. Les cinq farouches guerriers du désert se retrouvent alors surpris quand, au lieu de voir arriver un Banya confiant, ils découvrent sur eux une bande de Chingols furieux. Heureusement que Kong est intervenu, portant le message au loin.
Décidemment cette histoire me plaît beaucoup. Déjà l'inventivité des ressources de Banya est à chaque fois un étonnement et une source d'amusement par son côté imprévisible. De l'autre, contrairement à ce que je pensais, les auteurs ne nous ont pas enchaînés à l'histoire du fameux message à délivrer narré dans le premier opus. Cette histoire trouve sa fin dans celui-ci, et d'autres récits plus courts mais non sans intérêts poursuivent les pages de cet univers au climat hostile.
Ainsi Banya, sauvé par une vieille dame, accepte de délivrer un bijou à son fils qui oeuvre dans une bande de mercenaires du désert. Cependant ce dit-fils n'est qu'une mauviette qui va, par sa stupidité et son incompétence causer de biens lourds problèmes.
Donc j'ai passé un très bon moment à la lecture de cet album. Il va sans dire que la suite se fait déjà attendre !
Cette page est une version simplifiée pour les robots. Pour profiter d'une version humaine plus conviviale, cliquez ici.
