C'est terminé. La croix de Saint-Pierre s'est disloquée sous le poids des ans. Ainsi la dernière volonté des Templiers a été respectée. Mais cela n'arrange pas les affaires du Scorpion qui ne sais plus comment confondre Trebaldi. Revenus à Rome, Aristote le Hussard et le Scorpion assistent aux bûchers élevés par le totalitarisme du nouveau Pape. Il était loin le temps où l'ancien Pape déambulait incognito parmi les citoyens de Rome. De tous côtés, les alliés arrivent aux côtés du Pape pour continuer dans ce sens. Les sempiternels Gardes Suisses du Vatican ont été remplacés par les Moines rouges, ce qui n'est vraiment pas de leur goût, et complètement inédit.
Mais voilà, il reste une piste, celle que Rochnan a donnée avant de mourir : il faut chercher du côté de sa mère. Voilà qui remet donc en question l'acharnement dont fait preuve Trebaldi depuis le début à vouloir éliminer le jeune chasseur de reliques.
Dans ce tome, il y a moins d'action directe, car des intrigues nouvelles venant des ambassadeurs apparaissent, ainsi que les machinations du père de Trebaldi qui commencent à porter leurs fruits. Au final de cet album, on arrive à une belle surprise, quoi que. C'était un peu gros comme une maison. Mais cela permet de relancer véritablement l'action, ou tout du moins je le subodore.
Que vont donc nous concocter les auteurs ? Rendez-vous au volume 8 pour le savoir. En tout cas, moi je l'attends avec une vraie curiosité.
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