Guillaume Sorel, qui dessinait le fil rouge des Contes de l'Ankou jusqu'à présent n'a malheureusement pas pu continuer. C'est donc Paturaud qui reprend le flambeau. Même si le style graphique est différent, il s'en sort vraiment très bien. Sofia et son histoire ne perdent pas de leur attrait, et c'est bien le principal.
Une nouvelle fois, nous voguons au gré des contes sur l'homme à la charrette. Les styles de dessins sont toujours tous différents, mais tellement complémentaires. Et quel bonheur cela a été pour moi de retrouver un Ledroit très en forme (il n'y a qu'à voir la couverture pour s'en rendre compte) et dans un style très lugubre. Attention, Lamontagne et Gwendal n'ont pas à rougir de leur prestation, loin s'en faut.
Sofia trouve enfin des réponses, même si elles la mènent sur une voie d'où elle ne pourra revenir. Et nous, saurons-nous revenir de ces contes ?
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