A Venise, à l'académie militaire, un étudiant est retrouvé pendu dans les douches. Le jeune Ernesto Moro n'avait pourtant pas le profil d'un jeune homme en détresse, et pourtant c'est lui qu'on retrouve en train de se balancer au bout de la corde.
L'enquête est confiée au commissaire Guido Brunetti qui découvre assez rapidement que le père du jeune homme a autrefois été mêlé à un scandale politique. Le dottor Moro a en effet soulevé des tonnes de questions sur le financement des hôpitaux publics et le système d'approvisionnement des armées, ce qui lui a valu l'ire de bons nombres de personnes hautes placées.
Pourtant rien ne semble relier ces deux affaires, mais le commissaire est bien décidé à explorer toute les pistes.
Un roman policier plutôt convenu et sans réelle saveur. La seule originalité c'est le lieu où se déroule l'affaire, c'est à dire Venise. Le dépaysement est accentué par le fait que les traducteurs ont fait le choix de garder certains mots italiens pour désigner par exemple ce qui fait office de poste de police chez nous ou bien les titres que portent les citoyens.
J'attendais plus de cette intrigue, mais les amateurs de commissaire apprécieront sans doute.
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