Kikyô, qui a été blessée dans l'attaque de la bande des sept, explique à Inu-Yasha et ses amis que les morts ne peuvent s'approcher de la montagne Harurei-Zan, à cause d'une magie qui la protège et purifie tout mal. Kikyô ne peut s'en approcher, étant elle-même morte, mais les autres décident d'en avoir le coeur net. Après la petite crise de jalousie habituelle de Kagome, ils arrivent sur place. Seulement voilà, les deux démons Kirara et Shippo voient immédiatement leurs pouvoirs réduits à rien, et Inu-Yasha a senti une barrière invisible. Ils sont pourtant persuadés que Naraku se cache derrière, mais comment, lui qui est le mal incarné ? De leur côté, les survivants de la bande des sept rejoignent leur chef, Bankotsu, et ensemble ils vont combattre ceux qui les avaient vaincu de leur vivant, tout cela pour que Bankotsu récupère son arme, le sabre Banryu.
Un très bon épisode que ce volume 26. Les connexions entre les sept et Naraku sont mieux expliquées, et l'énigme posée par la barrière de protection de la montagne commence à trouver une esquisse de solution dans le cadre du récit. Par contre, je trouve que l'auteur abuse de l'utilisation de la perle de shikon qui regorge de vertus diverses de tout poil : elle peut rescuciter, augmenter les pouvoirs, réparer les objets magiques... On se croirait dans un marché avec un produit miracle qui guérit tout et n'importe quoi. Mis à part ce mouvement d'humeur, ce rassemblement des personnages est une bonne chose : elle promet des rebondissements futurs. Sinon, autant la dernière fois je vous avais conseillé de lire la chronique de Cédric Vantroyen, autant cette fois-ci je vous la déconseille : elle contient un énorme spoiler et je suis très mécontent de l'avoir lu... C'est à mon avis un manque de respect pour le lecteur.
Bref un tome à lire de toute vitesse si ce n'est déjà fait, mais uniquement les chapitres d'Inu-Yasha. Vous lirez les bonus après la lecture du prochain !
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