Les vingt-trois mondes sur lesquels se sont abattus les Primiens sont perdus, et les réfugiés affolés affluent sur les planètes du Commonwealth. Le gouvernement a d'autant plus de mal à gérer cet afflux que le budget de la Marine, créée pour la guerre contre les envahisseurs, a bien sûr toute priorité.Et dans l'ombre, la guerre que se livrent, par police et service de police militaire interposés, les Gardiens de l'individualité et l'Arpenteur, fait rage, avec l'IA en guise d'arbitre.
Il faudrait lire ce tome en ayant les deux précédents sous la main ou bien en tête, et le suivant, encore à paraître, en ligne de mire. En effet, on ne voit le début ou la fin d'aucune des nombreuses péripéties qui s'y déroulent. L'action, menée par une foule de personnages sur un grand nombre de planètes, satellites ou vaisseaux, est constante. Les amateurs de space opera de grande envergure apprécieront certainement ce cycle de grande ampleur, à défaut d'une originalité flagrante.
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