Des cadavres découverts dans un hôtel, un patron d'une boîte de nuit trempant dans du trafic international, une enquête dans le milieu de la prostitution de luxe... Voilà quelques uns des éléments que vous croiserez tout au long de ce tome. Vous pourrez également suivre Zoé, flic de son état, qui utilise ses relations pour progresser dans son enquête.
C'est à peu près tout ce que je peux vous dire sur ce tome, au scénario plus que décousu et enchevêtré ! Les scènes se succèdent beaucoup trop rapidement, et il est quasiment impossible pour le lecteur lambda d'établir un fil conducteur. Certes, ce n'est pas faute d'avoir essayé, mais là, il faut bien reconnaître que Ceppi ne nous aide pas... Allez, on en arrive même à prier pour en arriver à la fin, tellement on est convaincu de perdre son temps avec cette série...
Par ailleurs, les dessins sont tout simplement catastrophiques (je suis d'accord : c'est une question de goût) : on a parfois du mal à distinguer les personnages, les expressions sont mal rendues, avec des regards qui partent parfois de travers.
Bref, on est en droit de se demander pourquoi les éditions du Lombard font paraître cette série dans leur très belle collection Troisième vague, où vous pourrez trouver le superbe Niklos Koda ou IR$ par exemple. Retournez vous plutôt vers ces séries !
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