Il tombe des pluies torrentielles sur Rome en ce printemps, mais cela n'empêche pas Mariella De Luca de faire son boulot. Et son boulot, parfois, c'est d'enquêter sur des trucs glauques, que personne n'a envie de connaître.
Qu'est ce qui a poussé la petite Sara à monter sur les terrasses de Corviale le soir de sa disparition ? Et pourquoi personne ne l'a remarqué la fillette ce jour là ?
Et qu'est ce que ce cadavre, découvert sous une bâche d'un chantier archéologique de la ville ?
Mariella va tenter de résoudre les deux affaires qui se présentent simultanément à elle.
Exercice délicat que celui d'écrire un bon polar, et encore plus celui de le traduire avec le ton juste. Quand on se plonge dans Vert Palatino on se rend compte que Rome, la ville Eternelle, est loin d'être un lieu banalisé. Non, Rome est un personnage à part entière du roman, dont la météo capricieuse met des bâtons dans les roues de l'enquête de Mariella.
Avec des personnages bien campés, une intrigue bien ficelée ce roman est à découvrir pour les amoureux du genre.
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