Un navire de recherche est en mer depuis trois jours. A son bord, scientifiques et marins bien sûr, mais aussi des femmes et enfants. Le navire est avant tout un refuge. Malheureusement pour eux, une armada arrive pour attaquer et le combat commence, nettement en faveur des envahisseurs habillés et armés comme dans l'ancien temps. Un enfant s'échappe alors de la salle de classe pour aller retrouver ses soeurs. Shôichi Matsunaga est en effet très inquiet et, bravant le danger, il parcoure les couloirs. Malheureusement il se fait coincer par des samouraïs, sauver par son professeur qui lui n'en réchappe pas, puis finalement capturer. C'est alors que le noble Tôjô, chef des ennemis avance... dans un costume qu'aucun passager ne peut reconnaitre... une sorte de scaphandre spatial.
Avec un thème complexe, mélange des époques, Yumihari s'avère aussi fort difficile à suivre. Beaucoup de protagonistes de quatre groupes qui se croisent, et un but qui est pour l'instant caché. Côté graphisme, le rendu est bien fait sur les personnages ou les différents styles de navires / trains maritimes, moins sur les décors réduits au minimum (d'un autre côté la mer...).
Alors avec le peu d'éléments contenus dans ce premier volume, je suis pour l'instant très mitigé. J'ai beau savoir que le genre seinen offre une intrigue complexe qui met du temps à se déveloper, pour le coup c'est un peut trop lent. A voir donc le volume deux pour avoir un avis plus tranché sur cette série. Si elle ne m'a pas déplu catégoriquement, elle ne me plaît pas encore non plus.
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