Yomogi déprime parce que son petit ami l'a laissé tomber. Pendant ce temps Yôsuke hésite entre Ringo qui veut de lui, et Yomogi qu'il aime secrètement, sans en être vraiment conscient. L'ennuyeux pour Yomogi, c'est que ses tanuki en pâtissent, puisqu'ils se nourrissent de l'énergie vitale de leur maîtresse. Mais dans son rêve, Yomogi voit alors une sorte de monstre... juste avant un séisme de niveau 7 sur l'échelle de Richter. Les porteurs d'armes sacrées comprennent alors qu'ils ont affaire à un nouveau Kenzoku... et que par miracle Yomogi est capable de le voir.
J'aime cette série. Et ce n'est pas ce volume qui va me contredire. En effet nos jeunes adolescents vont devoir apprendre à s'accepter entre eux et eux-même pour dépasser leurs propres limites. Ainsi Yôsuke et Yomogi vont devoir collaborer très... étroitement. Alors que Kenji lui doit accepter son passé pour aller vers l'avenir, avec l'aide de la petite Irori. Autre scène, nous apprendrons comment le professeur Ezo va maîtriser la lance de Seiryû et sa rencontre avec Irori.
Le tout est servi avec un plateau de kenzoku toujours aussi différents les uns des autres, et le décompte du temps de vie pour le porteur de l'arc de Suzaku. Avec des dessins parfaitement exécutés, un scénario de qualité... voilà tous les arguments pour dire que j'aime cette série. D'ailleurs je ne suis pas le seul... puisque la série se poursuit encore au Japon. Donc... Vite la suite !
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