Que va devoir faire Momoko face à ce nouvel assassin qui se déclare ? Mais contre toute attente, il ne s'agit pas là d'un martialiste ennemi, mais bel et bien d'un allié, Hikaru Nakajima. Alors pourquoi ce duel ? Juste pour avoir l'amour de sa chef de clan. Et voilà au nom de l'amour, Momoko ne peut s'interposer, et bien au contraire l'encourage. N'aurait-elle pas encore remarqué que son fiancé ne sait pas se battre ? Par chance arrive non pas Nakajima (allons bon, elle est déguisée.. ou pas), mais bel et bien la Jument masquée !
Délire et compagnie, le retour. L'auteur pour une fois se lâche dans le côté sexy des personnages féminins. Joli à voir, mais pas foncièrement toujours utile sur la continuité de l'action. D'ailleurs dans ce tome, cette dite continuité pêche un peu, on a perdu du rythme par rapport à l'excellent tome deux. Dommage, mais rattrapable. Les pères de Momoko et de Kôshi font tout pour réguler les assassinats et conserver un semblant de paix. Kôshi Va bien devoir comprendre qu'il ne peut pas toujours échapper à son destin.
Reste donc à voir comme cette comédie musclée va évoluer. C'est une chose indispensable pour conserver cette première bonne impression... qui commence à partir.
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