Il est une tradition au Japon, celle au premier jour du printemps à prendre un pique-nique en famille ou entre amis sous les cerisiers en fleur. Mais voilà, tout le parc a été réquisitionné par Hibari et sa bande qui refusent de laisser le monde s'installer. Une bagarre s'impose donc (un peu forcée par Reborn) pour savoir si Tsuna et sa bande gagneront le droit de s'installer.
J'ai fais un petit retour en arrière pour vous parler de ce sixième tome avant de vous parler des deux suivants, tout simplement pour vous rappeler combien jusqu'au septième inclus, la série était portée sur le côté loufoque, sans vrai but... Et pourtant chaque détail compte. Tour de force d'Akira Amano que personne n'avait vu venir avant le volume huit. Celui-ci est dans la même veine que les tous premiers. Des nouveaux personnages, pas toujours très intéressants, mais de l'humour à gogo.
L'un de ces personnages est le bizarroïde Longchamp Naitô, complètement hors du sens des réalités, et qui doit être tout comme Tsuna un futur parrain de la Mafia. Autre personnage qui aura son importance, Colonnello, un bébé combattant tout comme Reborn, dont on apprend qu'ils sont un groupe de sept, les Arcobaleno, reconnaissables avec leur tétines, chacune d'une couleur différente.
Ce dernier personnage et la signification des bébés prendront bien entendu toute leur importance par la suite... Mais pour l'instant je ne vous en dis pas plus.
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