TEQUILA !!!!!! Ainsi commence le nouveau numéro de Lucha Libre, avec un Tequila toujours pas content et qui va être confronté à des pom-pom girls qui lui en veulent, mais apparemment pas assez encore pour lui en mettre plein la tronche. Heureusement, il leur reste encore leur petite culotte à laver pour avoir quelque chose à faire une fois l'ouragan passé. Enfin, quoique, une rencontre peut tout changer sur ce sujet.
Tequila est fort. Tequila est grand. Tequila est con. Et à la maison, c'est Cheryl qui dit quoi faire et quoi penser. Seulement, après un incendie forcément involontaire, Cheryl n'est plus là. Partie ? Enlevée ? Tequila ne sait pas et Tequila s'en fout. Tequila part pour la chercher et demande le chemin à son ami le cactus.
Ah qu'il est bon de pouvoir compter sur des valeurs sûres. Et Lucha Libre fait partie de ces valeurs sûres sur lesquelles le monde tourne. Imaginer un peu le monde sans la production frénétique de Jerry Frissen et ses esclaves me fait froid dans le dos. Des psychopathes de tous bords n'auraient plus leur guide pour les canaliser et le Professor Furia descendrait dans la rue pour manifester. Inconcevable.
Par contre, les histoires de Tequila et des Tikitis sont plus grosses, ce qui fait moins de place pour le reste. Moins de pub, plus les fiches techniques (comme on avait dans les magazines de super héros de quand on était petits) sur les personnages (dommage !) et donc moins de possibilités de raconter des conneries en dehors des histoires. C'est sûr, les histoires y gagnent, mais cela faisait un tout dans cette parution et cela manque un peu.
Mais s'en souviendra-t-on seulement encore la fois prochaine ? En tout cas, merci d'avoir repris les rênes des mains de cet alcoolique de Professor Furia.
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