Pour l'amour de mademoiselle So-Hui, Baek laisse la vie sauve à Do Chonyong. De son côté Jingaku est aux prises avec les Mohaiga et d'un premier abord ne s'en sort pas si bien que ça. Ailleurs encore voyant sa petite protégée l'appeler à l'aide, Kyo-ui se jette dans l'action avec ce poil de réussite qui énerve bien ses adversaires, pourtant fort nombreux.
Si de temps à autre des brides de scénarios sont mises pour que le lecteur essaye de s'accrocher à quelque chose, c'est tout de même comme de chercher une aiguille dans une botte de foin. La fin du volume est plus explicite sur le passé du personnage principal, si l'on peut qualifier Kyo-ui de personnage principal d'ailleurs, mais ça reste très flou sur les adversaires de la secte Mohaiga (puisqu'il doit s'agir d'une secte, ce dont je n'ai pas une certitude absolue, toujours pas).
Bref je ne vois pour l'instant toujours pas de raison de s'intéresser à ce manhwa si ce n'est pour amour des scènes de combats urbains à l'épée. Encore qu'on trouve quand même mieux ailleurs à ce niveau. J'espère que la suite me réconciliera avec Mook, mais j'avoue fortement commencer à en douter.
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