Enfin ! Tsukushi et Dômyôji peuvent s'aimer librement, en étant eux-même. Et même s'ils ont du mal à s'éclipser pour ne rester qu'à deux, ils sont vraiment heureux. Tsukushi a parfois du mal à être à l'aise avec le fait de se tenir par la main ou à s'embrasser en public, ces choses là ne se font guère au Japon, mais elle s'y fait vite. Manque de bol, le couple tombe sur les parents de Tsukushi, mais ceux-ci sont plutôt large d'esprit. De son côté, Yûki invite Jirô Nishikado à son lycée pour remplacer leur professeur de cérémonie du thé, en congé maternité. Mais ce qu'ignore le jeune homme, c'est que dans ce groupe se trouve Sarah, son amie d'enfance qu'il n'a pas revu depuis le lapin qu'il lui a posé sur la tour de Tokyo (souvenez-vous du tome 28).
L'histoire semble se rapprocher de son terme tant les actions en cours entre les protagonistes finissent par se conclure. Ainsi Jirô va en apprendre plus sur lui-même et pouvoir essayer de réparer son erreur, au détriment des sentiments de Yûki. Quant à Tsukushi, elle ne veut pas laisser tomber son amie en proie au chagrin d'amour.
Bref un tome plutôt bien réussi où l'histoire avance dans le bon sens, contrairement au passage où Dômyôji avait perdu la mémoire qui ralentissait plus qu'autre chose. Les amateurs apprécieront sans aucun doute.
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