Le groupe de Kagome arrive dans un village qui ont subi des attaques récentes d'un fantôme de chien des montagnes géant. Ils leur demandent de les en débarrasser. Le soucis, c'est qu'Inu-Yasha ne sent là qu'une odeur de chien, et non de monstre. Au même moment, non loin de là, le chien s'attaque à une famille. C'est alors qu'intervient Kohaku qui se bat contre lui de toutes ses forces. En réalité, c'est Naraku qui l'a envoyé chasser un gros monstre, sans pour autant en expliquer ses raisons. Mais au moment où le chien meurt, Kohaku aperçoit enfin le vrai monstre, une sorte de parasite capable de prendre possession de la volonté de sa proie.
Voilà quelques temps que je n'avais lu des Inu-Yasha, et donc j'ai eu l'occasion d'en lire trois volumes à la suite. Il faut avouer que cela fait moins découpé, et que l'on voit que Rumiko Takahashi a de la suite dans les idées. Malgré tout, les scènes se ressemblent souvent, surtout quand il est question de Kikyô. Ainsi c'est juste la troisième ou quatrième fois que l'on voit que Kohaku s'est libéré de l'emprise de Naraku, mais qu'il doit le cacher encore, même à sa grande soeur. De même, il est très fréquent que des monstres s'attaquent à Inu-Yasha pendant sa période où il n'est qu'un simple humain.
Côté nouveautés (quand même), Goryômaru, jusqu'alors prisonnier de Naraku, se dévoile. Il risque de ne pas être aussi amical avec nos amis qu'au cours de leur première rencontre.
Voilà, pour résumer Inu-Yasha continue son petit bonhomme de chemin. Mais à mon sens ce n'est pas ce qu'a fait de mieux Rumiko Takahashi.
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