Au Sanctuaire, la nouvelle de la mort d'Aldébaran est sur toutes les bouches. Pourquoi est-il mort en protégeant un simple chevalier de bronze ? Vue toutes ces rumeurs, Tenma craque et quitte le Sanctuaire, or cela est puni de la peine de mort en temps normal. Au moment de quitter l'enceinte, un chevalier d'or se dresse devant lui : Manigoldo, chevalier du Cancer. Impuissant face à cette armure d'Or, Tenma est conduit en cellule. Pendant ce temps dans les enfers, Hadès et Perséphone s'expliquent sur les désirs des uns et les ambitions des autres. Et quelquefois, les dieux n'ont pas toujours le dernier mot.
Depuis le dernier volume, on sent bien que cette série se détache enfin du Saint Seiya original. Tant mieux pouvons-nous dire. Ici, quelques secrets nous sont révélés, comme l'identité du Grand Pope (qui n'est pas le chevalier de la Balance, rassurez-vous), celle du Grand Maître de Jamir (qui n'est pas non plus le chevalier du Bélier vous dis-je !), et maints autres détails. Ceci fait, nous retrouvons les trois compagnons Pégase, Licorne et désormais Grue, vers de nouvelles aventures où ils devront vaincre la forêt de la mort. Tout un programme.
The lost canvas continue d'être tracé, et nous le lisons à peu près à cette même vitesse, et ma foi avec grand plaisir. Vivement la suite.
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