Zen entraîne le docteur vers le seul endroit qu'il connaisse de son passé... sa maison. En fait c'est l'endroit où il a été recueilli après sa perte de mémoire. Son occupante l'accueille avec toute la rigueur qu'elle avait de son ancien rôle, l'ancienne chef du Zendo. Elle était en fait une sorte de Grande soeur qui recueillait les femmes persécutées de l'Amata. Elle leur donnait un toit et les incitait à se battre contre les oppresseurs venus du Galley. Pour survivre, elles détroussaient les soldats morts de part et d'autre. Mais un jour, elles ont découvert le corps d'un soldat qui n'était pas encore mort. C'était Zen, enfin Zé-quelque chose puisqu'il n'a pas réussi à dire son nom en entier. Qui était-il donc ?
Cette deuxième partie de L'Empreinte du mal ne bénéficie pas de l'effet de surprise du premier, ni de son introduction choc. Par contre sa conclusion l'est dans un sens. Qui est vraiment bon ou mauvais, c'est difficile à dire ou à déterminer. D'un autre côté, j'en veux à Aya Kanno parce que dans un sens, son choix de scénario est limite "trop facile". Il fallait un rebondissement, elle l'a fait. Est-il à bon escient pour l'histoire ? Je n'en suis pas certain.
Pourtant cette courte série de deux tomes n'est pas bonne à jeter aux orties, même si la suite est moins captivante que le début de mon point de vue. En tout cas, ça change d'Otomen !
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