Ando veut en avoir le coeur net. Alors pour tester les véritables capacités de son don, il demande à son frère prononcer des noms de chiens... tout en l'obligeant mentalement à dire bien autre chose, et en s'éloignant petit à petit. Grand bien lui en a pris, puisqu'il a compris qu'il peut utiliser son don jusqu'à trente pas de distance environ. Le genre d'informations qui pourrait bien, par la suite, lui sauver la vie. Car très vite, il s'aperçoit qu'il échappe de peu à un accident mortel... et que cela été prémédité. Qui en veut donc à sa vie ? Inukaï ?
Ce deuxième opus, comparativement au troisième, est mieux construit. Les événements s'enchaînent plus logiquement, et seule la personnalité vraiment bizarre de la Cigale trouble la logique même de l'intrigue. Néanmoins, vu comment Ando est un empoté, il n'y avait guère d'autre choix pour Megumi Ôsuga de se dépêtrer de là pour sauver son personnage principal. Néanmoins, je n'ai guère été emballé par la lecture de cet opus, somme toute assez peu originale, et manquant de confrontation directe entre les deux antagonistes.
N'empêche que pour l'instant je reste sur ma faim, la série ne trouvant pas, tout du moins à mes yeux, d'originalité qui lui est propre.
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