En 2016, sur le site de la construction d'une plate-forme maritime ultra moderne de Tokyo, une classe de collège est venue visiter le chantier. C'est le lieu où une bande de crétins de la classe ont décidé de s'en prendre à la tête de turc locale, en l'envoyant dans une zone interdite. Il est heureusement secouru par deux autres camarades, mais au moment de son retour s'est produit un accident. On raconte qu'il s'agissait de la chute d'un satellite... Six mois plus tard, Koichi n'est plus le même homme. Il est fort, plus courageux et n'écoute plus vraiment les conseils de ses deux amis. Pire, il s'entend presque bien à ceux qui s'en prenaient à lui autrefois. Que s'est-il vraiment passé ?
Un jour, dans la rue, Koichi se fait attaquer par des étranges monstres bizarrement articulés. S'il se défend bien, ils sont bien trop nombreux. C'est alors qu'apparait un robot géant qui va, lui, leur mettre la pâtée... sans toucher un seul humain de la ville.
Cela faisait longtemps qu'il n'y avait eu en France de sortie d'un shônen sur les méchas. Dans Kurogane no Linebarrels, ces entités se nomment des Macchinaes et leurs pilotes, si l'on peut dire, des Factors, qui bénéficient de changements dans leur comportement et leur physique. Au delà, on découvre une organisation secrète qui essaye de les rassembler dans un but pour l'instant encore inconnu. Le personnage principal, Koichi, est tellement imbu de lui même qu'on a envie de lui mettre des baffes, tant il est pitoyable. D'ailleurs, même ses ennemis ont cette opinion et l'expriment.
En fait, je suis assez partagé sur ce volume. Dans un sens, c'est terriblement bateau comme thème, et déjà mainte fois rabâché à l'exemple du très célèbre Gundam Wing. De l'autre, on n'était que dans un volume d'introduction, et derrière se trouvent les prémices de quelque chose qui peut être très intéressant.
Donc je réserve mon jugement pour la fin du volume deux... histoire d'en savoir plus. Intéressant ou juste vile copie ? Tout reste à faire, et à prouver.
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