Tenma a réussit à matérialiser une armure divine dans le monde des rêves, et ce afin de terrasser l'un des quatre dieux qui l'y maintient enfermé, ainsi que l'âme du chevalier du Sagittaire, Sisyphe. Le coup qui suit terrasse la puissance du Dieu Morphéus, surpris de la force cachée en Pégase. Mais le dernier dieu des rêves, Oneiros, cache un atout de taille dans sa manche. Un atout tel que même El Cid, chevalier du Capricorne, aura du mal à se défendre.
Deux constats. Le scénario est vraiment bon, mais dans un autre sens, la scène du monde des rêve s'avère très longue par rapport au rythme plus rapide des volumes précédents de la saga. Heureusement disais-je, dans ce dixième opus, déjà, le scénario tient vraiment la route, avec une véritable avancée dans celui-ci, et l'implication directe de certains protagonistes restés en retrait. Petite nouveauté dans un sens, un chevalier du Sagittaire vivant et actif ! On va peut-être enfin savoir de quoi est véritablement capable la flèche d'or, autrement que tirée par Seiya.
Donc plutôt un bon volume, et le suivant a de fortes chances de nous faire découvrir d'autres aspects de l'enfer, et peut être du canvas. Cela promet.
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