Cruelle déception pour Andô Machiko : son pire ennemi vient de le délivrer de la menace causée par La Guèpe. À la merci d'Inukaï, le garçon ne peut que le suivre en haut de l'immeuble où celui-ci va prononcer son discours. Et suivant les paroles du chef des Grasshoppers, dans toutes la ville, des lumières s'allument dans la nuit, répondant à l'appel du chef. À présent, la chasse est ouverte, et gare aux personnes qui soutiennent le projet des Anderson... ou qui s'appellent comme tel. Et ce n'est pas la tentative de contrôle de la parole d'Inukaï par Andô qui y change grand chose. Surtout que ce dernier va apprendre sur son pouvoir quelque chose de primordial...
Le manga signé Isaka et Ôsuka continue, pour l'instant, normalement. Sans véritable coup d'éclat aussi. Heureusement, certains personnages, comme La Cigale, sont intéressants et relèvent les autres par trop caricaturaux.
Je reste donc assez mitigé sur Le prince des ténèbres. Ce n'est pas mauvais, mais l'intérêt que porte Inukaï à Andô me paraît superficiel et absolument pas logique. Il serait tellement plus simple de le tuer et d'en rester là. Il a moins de scrupules pour d'autres après tout. C'est bien ce constat qui m'empêche de prendre réellement du plaisir à la lecture de cette série. Dommage.
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