Black Star est tenu en respect par un adversaire sans commune mesure avec des sabres. Il faut dire qu'il en a des dizaines, et qu'il les manie à la perfection. Mifuné se doit donc de couper la route aux Meisters de Shibusen pour obéir aux ordres de sa patronne, Arachné. Et Tsubaki, pourtant de la famille Nakatsukasa, n'est pas en mesure d'être utilisée parfaitement.
Après l'apparition du grand dévoreur, on aurait pu s'attendre à le "voir" réellement en oeuvre, mais tel n'est pas le cas. En fait, à l'égal de Sauron dans Le seigneur des Anneaux de J.R.R. Tolkien, on sait qu'il existe, qu'il a une forme, mais on ne le le voit pas. Par contre, son influence est indéniable. La preuve en est de la résurrection de la sorcière Arachné.
Plus étonnant encore, Atsushi Ohkubo développe des liens entre ses personnages qu'on ne soupçonnait guère. Voilà qui démontre que le scénario n'est pas un grand n'importe quoi, ce qui n'est pas encore prouvé en ce qui concerne le dessin par contre. Enfin, c'est un style, qu'on aime ou pas.
En tout cas, et c'est étonnant vu le premier opus, on peut dire que Soul Eater tient la route. Ouf.
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