Daichi a eu un conflit avec deux autres Blazers des Guardians, Shirô et sa partenaire Tamaki. Mais voilà, le véritable Beast a repéré leurs traces, et va tenter de récupérer Testarossa, le mysticker rare que lui apportait Yûma. Mais en fait Beast n'a pas vraiment la tête à prendre simplement l'item... ce qu'il désire réellement, c'est de combattre les meilleurs. Alors il va en faire baver au trio improvisé.
Et l'ennuyant, c'est que Daichi et Shirô n'arrivent pas du tout à s'entendre, se mettant mutuellement des bâtons dans les roues, sous l'oeil désolé de la pauvre Tamaki.
Dans ce deuxième volume, moins de blagues idiotes, plus de réflexion, de stratégies concernant l'utilisation des artefacts qui font penser quand même largement à de la magie. La petite Misora, l'ancienne chef de la team Ôzora à laquelle appartenait aussi Daichi commence à évoluer, sous les effort de la chef du district 3 des Guardians. Dommage que Kuroki lui-même ne se montre pas vraiment à la hauteur de ce qu'il représente.
Néanmoins, Seishi Kishimoto semble mieux maîtriser son sujet, et tient un cap plus intéressant que ce qui était visible dans l'espace réduit du contenu du premier tome. Tant mieux, même s'il y a encore beaucoup de boulot pour en faire un shônen inventif et unique. Après tout, c'est le buzz qu'avait lancé Kurokawa lors de l'annonce de la sortie de Blazer Drive. Il faut tenir ses promesses !
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