La lumière du jour disparaît du ciel d'Edo pour une raison fort simple quoi que déroutante : le château de Enno Fuji surplombe la cité. La nuit, les démons profitent du moindre interstice entre les murs des maisons pour entrer et commettre leurs méfaits. Seuls une poignée de miliciens se dressent encore devant cette armée des ténèbres, au nom d'un maître, Tenma. Mais cette fois, ils ont affaire à forte partie. Heureusement, deux éléments nouveaux vont venir perturber l'avance des adorateurs du mal.
Ce qui est étonnant avec Kaze, c'est que chaque tome nous entraine dans un univers qui semble différent. Et même si le fossé entre ce présent volume et le précédent n'est pas très large, il l'était parfois pour d'autres, ce qui fait que la compréhension générale de la série n'est pas bonne du tout. Surtout quand on lit les volumes avec quelques mois d'intervalle.
Néanmoins, cet opus semble plus aboutit, confirmant le bon virage du sixième tome. La fin n'est plus très loin, et Masaomi Kanzaki ne se perd plus dans des diversions métaphoriques, ou carrément ésotériques. Il faut avouer que cela n'aidait pas du tout le lecteur à se positionner dans sa compréhension de texte. Espérons donc que la suite soit à ce niveau, histoire de remonter mon intérêt pour cette série.
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