Comme dans le premier volume, nous suivons la vie décousue d'un dessinateur d'estampes au temps d'Edo, Sutehachi. Celui-ci passe son temps à dépenser de l'argent qu'il n'a guère pour boire au lieu de s'occuper de la santé de celle avec qui il couche, O-Shichi. Et quand elle va mieux, c'est pour mieux la dévergonder davantage. Il ignore alors qu'un drame se produira.
Dans ce deuxième opus, il n'est que peu question du vieux maître, Hokusai, mais plutôt de la vie qui apparaît comme misérable des habitants de ce quartier d'Edo, ainsi que l'on nommait Tokyo naguère. Par ce côté, ce volume est bien intéressant. Par contre je n'ai été que peu intéressé par la vie de débauche de son personnage principal. Les actes de O-Shichi sont bien plus intéressant dans la portée philosophique ou sociologique qu'ils démontrent.
Bref, un volume qui plaira aux amateurs les plus éclairés, à ne pas mettre entre les mains de tous, et surtout pas des plus jeunes.
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