Dans la ville de Nékota, des drames se préparent. Près d'un pavillon, des Grasshoppers s'apprêtent à mettre le feu, pour la simple et sans doute bonne raison que le fils d'Anderson y donne des cours d'anglais au couple de retraités. Les trois personnes y sont enfermées. Autre part, au plus haut étage d'un hôtel luxueux, la cigale fait son travail : défendre le maire contre tous les civils qui l'attaquent... mais aussi contre les professionnels qui finissent par arriver, et où la mort est inévitable.
Ce cinquième volume est marqué par le concept de domination mentale. On y découvre un nouvel utilisateur de pouvoir spécial, quelque peu cynique dans sa façon de s'en servir. De son côté, Andô va devoir prendre la plus grande décision de sa vie : continuer à se terrer dans son coin, ou combattre réellement ce qu'il est le seul à voir, le mal de représente Inukaï.
Ce volume marque donc un virage par rapport au précédent, et s'en trouve fortement mieux réussi. Ouf. La suite d'ailleurs ne va pas me contredire. Rendez-vous dans la prochaine chronique pour en savoir plus.
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