Alors qu'Efrim est toujours dans les sous-sols du Stade, à rechercher des artefacts pour en savoir plus, dans le Stade lui-même, un groupe d'individus grandit de plus en plus, sous l'influence de Fanny. On les appelle les Constellés, car Fanny leur tatoue des constellations d'étoiles sur leur corps. Daniel le lui reproche d'ailleurs, mais celle-ci n'en a cure, soit-disant qu'elle le fait pour l'art et rien d'autre. Par contre elle déteste l'union de Daniel avec Minia. Mais dans le Stade, les Constellés commencent à faire leurs actions néfastes, en réduisant peu à peu l'influence des autres clans.
Si le premier opus nous a fait découvrir une bien étrange société, en espace clos, ce deuxième volume se veut plus dynamique, plus caractériel aussi, mais à mon sens aussi un peu plus brouillon. Les chapitres se suivent avec des informations que je ne me souvenais pas avoir reçues, les transitions sont peu fluides. Quant aux personnages, ils se montrent souvent perfides ou grossiers, peu réfléchis la plupart du temps. On n'apprend d'ailleurs pas grand chose de plus sur les raisons de cette vie dans le stade, ni sur leurs prédateurs à l'extérieur.
Par contre, le titre du troisième opus est comme une promesse de révélations en tous genre, et peut-être même d'espoir. C'est une heureuse, et finalement logique, nouvelle. En effet, les deuxième tomes de trilogies sont souvent les plus sombres pour les héros. Il ne reste plus qu'à attendre la suite... à moins que le scénariste ne veuillent nous en donner quelques primeurs, qui sait.
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