Saikô et Shpujin vont enfin livrer leurs premières planches, car voici venu le moment de leur rendez-vous avec l'un des responsables éditoriaux du Weekly Jump, M. Hattori. C'est l'angoisse, car il peut refuser les planches sans le moindre soucis... pourvu qu'il propose du thé ou du café, signe qu'il est intéressé ! Après de longues minutes de patience, M. Hattori décide de relire les planches. C'est bon signe. Il finit par faire de très nombreux commentaires, autant sur le scénario que sur les traits. Les deux collégiens comprennent que le travail est encore bien long avant d'être capables de gagner leur série. Mais pour Saikô surtout, les remarques de M. Hattori sont surtout assez importantes pour démontrer que ce dernier est un bon responsable éditorial, et donc assez fiable pour continuer de travailler avec lui. C'est à présent à trois qu'ils peuvent espérer gagner un concours.
Dans ce deuxième volume de Bakuman, on rentre complètement dans le sujet. Le duo enchaîne les planches, et le fait d'avoir un oeil extérieur sur leur travail n'en est que plus bénéfique. On découvrira aussi qui est le fameux Eiji Niizuma. Mais on n'oubliera pas la romance silencieuse entre Saikô et la jolie Azuki, qui avance par le plus grand hasard d'une décision du professeur principal de la classe. Ce deuxième opus marque aussi la résolution du mystère de l'amour caché de l'oncle de Saikô... une sacrée surprise.
Confirmant les très bons points soulevés dans le premier opus, Bakuman s'avère une série qui a beaucoup de potentiel. Il faut dire que la promesse de découvrir les coulisses de nos mangas préférés, c'est plutôt alléchant non ? En tout cas, moi, j'y adhère. Vivement la suite.
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