Grâce au courage des chevaliers de bronze, l'Arche d'Athéna est parvenue aux portes du château de Hadès, et une nouvelle fois, Tenma fait face à Alone, son ancien ami, devenu le dieu des Enfers lui-même. Eaque, vaincu, a pourtant la vie sauve, et se voit même aidé par le chevalier de la Licorne, au grand étonnement de l'ex-juge. Éveillé au septième sens, Tenma réussit ce qu'il n'avait jamais accompli alors : toucher Hadès à l'aide de sa technique la plus puissante, la comète de Pégase. L'entraînement de Kanon porte ses fruits, car même la contre-attaque de Hadès est maîtrisée. Pourtant, leur deux niveaux de puissance ne sont pas les mêmes... un humain peut-il vaincre un dieu ?
Les renversements de situations sont légions dans ce seizième opus de Saint Seiya the lost Canvas, qui a donc le mérite de faire rebondir une histoire qui devenait très linéaires depuis quelques volumes. Donc, après ce temps fort, l'histoire va se poursuivre en une sorte de précurseur de l'arc du Sanctuaire, où pour avancer il faudra vaincre les gardiens respectifs des portes. Ce type de scénario est bien plus conventionnel, j'en conviens volontiers, mais est relativement inévitable dans le contexte présent : une armée qui tente de pénètrer dans la forteresse de l'ennemi.
Histoire à suivre, avec les spectres les plus puissants de Hadès à vaincre, en principe.