Bien plus jeune, Luke Ainsworth a promis de forger le meilleur des
katanas à une amis, dans le but de protéger ses proches. Or, la fabrication d'une telle arme est considérablement complexe, surtout pour un jeune homme manquant d'expérience... Des anénes plus tard, à l'atelier de Lisa, celle qui se prénomme ainsi a bien des doute sur ce qu'elle est réellement... même si elle a son idéal.
Vous avez toujours voulu savoir pourquoi Luke est si distant avec la jeune fille qu'il abrite ? Ou alors pourquoi il ne se rapporche pas plus de Cecily, malgré son fort tempérament ? Rassurez-vous, ce volume va répondre à de nombres questions restées en suspend. En outre, on commence à en savoir un peu plus sur ce monde, sur les trois pays qui le composent, et sur la particularité de la cité marchande de Housman.
Autant le dire tout de suite, avec un tel background qui se dévoile, ce volume de The sacred blacksmith est mon préféré à ce jour. Néanmoins, l'idée est de savoir si, dans son genre, il n'y a pas de meilleure série. Force est d'avouer que si, certains shônens d'héroic-fantasy font mieux l'affaire. Parce que honnêtement, un peu de fan-service, des filles et du combat le tout en pas beaucoup de pages par volume...
Mais bon, ce quatrième opus remonte vraiment la pente, où l'on voit à coup sûr la pâte de Isao Miura, l'auteur du roman original. Tant mieux, j'attends que la série avance sur cette lancée. C'est primordial pour la crédibilité de son avenir de série inovante et percutante méritant sa traduction dans la langue de Molière. C'est d'ailleurs tout ce que je lui souhaite.
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