De retour du monde créé par le chat du Cheshire, Oz découvre que Miss Sharon a été enlevée par Vincent, le grand frère de Gilbert. Mais pour quelle raison ? L'enjeu est pourtant lié à cet événement, qui a permis à Oz de retrouver un souvenir d'Alice datant d'il y a un siècle, mais il manque à Xerxes Break le lien entre les deux faits. Toujours est-il que pour sauver la demoiselle, Break fait un sacrifice de taille. Oz, perturbé par tous ces événements, va avoir besoin de se changer les idées.
Après un passage du scénario plus musclé, Jun Mochizuki revient à son côté plus humoristique, avec le retour d'un personnage que l'on n'avait plus vu depuis le premier volume, avant l'incident qui a projeté Oz dans les Abysses. Sous l'influence de son oncle, et de son côté potache si je puis dire, Alice, Oz et Gilbert vont devoir entrer dans un pensionnat par une porte dérobée, et essayer de ne pas se faire remarquer par les surveillants de cette prestigieuse académie. Il va sans dire que cela va être fort difficile.
Mais bon, j'avoue avoir été plus intéressé par le côté noir de l'opus précédent que par ce passage qui n'apporte pas grand chose, quoi que. Des personnages qui ont un lien avec une certaine famille importante se révèlent par le biais de cette école. Bref, attendons le volume suivant pour en avoir le coeur net. Par contre, un bon point, l'humour est au rendez-vous en dessous de la jaquette... à ne lire qu'après avoir parcouru ce volume six de Pandora Hearts cependant. J'aime ce côté développement d'univers personnel un peu barré, à l'exemple de Fullmetal Alchemist ou le récent Que sa volonté soit faite.