Mark Evans est le capitaine d'une équipe de football à l'agonie. En effet, si lui rpeve encore au passé prestigieux de l'équipe, tous sont en fait très faibles, et ne possèdent pas les capacités de leurs prédécesseurs, les Inazuma Eleven. Encore que... le défi lancé par Nelly Raimon, la présidente de l'association des élèves (et accessoirement fille du directeur) fait que Mark va faire un exploit : reproduire la fameuse main céleste. Mais pour réussir le pari, il faut encore réunir une équipe assez forte pour gagner un match, et ça, c'est pas gagné.
Voici une nouvelle adaptation de jeu vidéo, comme récemment Ace Attorney ou encore les différentes séries de Tales of. Pourtant, ce Inazuma Eleven, outre un scénario assez simple basé sur un jeu de football mélangé avec des super-pouvoirs, est surtout dessiné de façon très simpliste. Trop simpliste. Cela n'aide pas à porter un scénario téléphoné à lextrême. J'ai en fait eu l'impression débuter une partie sur une console de jeu, sans pouvoir toucher aux boutons. Soyons honnête, un manga est sensé être à un tout autre niveau.
Donc Inazuma Eleven m'évoque pour l'instant un intérêt extrêmement limité, y compris pour la catégorie de lecteurs à qui il s'adresse, à savoir les jeunes garçons fans de football. À ce niveau, je proposerais plutôt de lire Captain Tsubasa qui est en réédition en ce moment. Mais bon, peut-être que le deuxième opus d'Inazuma Eleven pourrait me surprendre, qui sait.