Pourquoi faut-il que Yamato réalise le pacte d'union avec sa poupée karakuridôji, Ultimo ? Parce qu'alors le dôji acquiert véritablement tout son pouvoir, celui lié à son seigneur. La preuve va être démontrée lors de l'attaque d'Edere : par le pacte d'union, Ultimo est capable de créer des failles spatio-temporelles ! Voilà pourquoi on le considère comme le dôji ultime du bien.
Cette fois, l'introduction est terminée. Stan Lee passe à la vitesse supérieure... et tombe plus ou moins dans le piège classique des comics : le côté super-héros qui remonte. En effet, ce que deviennent les karakuridôji ne m'a pas franchement étonné, alors qu'on ne le soupçonnait pas du tout dans le premier volume.
Néanmoins, le rythme nouveau est agréable, par rapport aux deux premiers volumes qui piétinaient. Outre le côté démagogique des déclarations de Stan Lee dans les commentaires de jaquette, on peut apprécier son travail, et l'adaptation faite par Hiroyuki Takei, qui me fait fortement penser aux X-Law de Shaman King.
Bref, un volume intéressant, même si l'importance des événements me semble démesurée face aux actions en elle-mêmes. Histoire à suivre pour le confirmer ou l'infirmer.