Jack Vessalius se souvient de son passé, et de sa relation avec Glen Baskerville, ainsi qu'avec Lottie. Par ces souvenirs, il évoque ce qu'il s'est vraiment passé lors de la tragédie de Sablier... mais ces souvenirs, il ne va pas les raconter à Lottie et des autres Baskerville qui ont enlevé Oz. Alors Jack met en garde ses trois ravisseurs : jamais ils ne pourront vaincre B-Rabbit, alias Alice. À son réveil, Oz se souvient de tout ce que lui a montré Jack... et comprend que ses actes sont ceux d'un lâche qui ne fait rien pour aider ses amis. Elliot Nightray, l'un des élèves qui ont aidé à libérer Oz, va le secouer pour le faire aller de l'avant.
Commencé par une scène de souvenir, puis par une autre décalée, avec une beuverie, puis continuer par une recherche d'informations en allant chez le duc Rufus Barma, qui semble tout savoir sur tout... tout ceci montre combien suivre le fil de ce scénario est tâche ardue tant celui-ci est décousu. En fait, cela me fait un peu penser à la mise en scène de D.Gray-man qui alterne aussi les scène d'action et les scènes de délire, avec plus ou moins de réussite, ou encore celle de Sasameke, ou de Crimson Prince. C'est peut-être une tendance actuelle du manga, mais je pense qu'elle le dessert. Dans Pandora Hearts, les scènes noires sont fortes, et les scènes d'humour sont complètement idiotes. Difficile de s'y projeter et de rester concentré jusqu'au bout dans ces conditions : il n'y a aucun moyen de se mettre dans la bonne ambiance !
La fin de cet album étant plutôt de bonne facture, j'espère donc que Jun Mochizuki, lui, sait où il va. Parce que c'est cette histoire là qui m'avait bluffé dans les trois premiers volumes... et c'est celle-là que je désire lire par la suite, et non des passages incohérents.