Les Chroniques de l'Imaginaire

Twister

Lorsqu'elle était petite, Jo Harding vit son père se faire emporter par une tornade alors qu'il essayait de maintenir fermée la porte de leur abris. Maintenant adulte, elle est fascinée par ces éléments météorologiques. Avec une équipe de spécialistes, elle traque les tornades pour essayer d'y lancer " Dorothy ", une machine qu'elle a mise au point avec son futur ex-mari, Bill. Dorothy doit lancer des capteurs au cœur de la tornade pour ensuite envoyer les données vers des ordinateurs, qui pourront les analyser. Et ils prévoient de fortes perturbations en cette saison.

C'est ce jour-là que choisit Bill pour venir avec sa futur femme, Melissa, pour chercher les papiers du divorce que Jo n'a toujours pas complètement signé. Elle semble avoir oublié une page. Toute l'équipe est contente du retour de Bill, même s'il affirme qu'il ne revient pas. L'Extrême, comme on le surnomme n'est que de passage. Mais quand on lui apprend que Dorothy est opérationnelle, il ne peut s'empêcher de vouloir la voir fonctionner. Il va donc reprendre la route avec son ancienne équipe.

Twister a quinze ans, déjà. Et pourtant, je ne trouve pas que le film a vieilli. On rigolera certainement devant les ordinateurs qui étaient sans doute à la pointe de la technologie de l'époque, mais sinon, le film est toujours aussi bien fait. Les effets spéciaux sont bons et il n'est pas courant de faire des films sur les tornades. Twister est donc une référence dans le domaine. J'ai pris beaucoup de plaisir à le revoir.

On y retrouve en plus Helen Hunt que je ne vois plus trop actuellement, et j'aime beaucoup cette actrice. Elle campe le rôle de Jo Harding qui est plus qu'intéressée par les tornades. C'est une véritable obsession chez elle et elles exercent une attirance dangereuse sur sa personne. C'est un personnage un peu écorché qui a encore des espoirs quant à son mariage. Bill est joué par Bill Paxton et le couple des deux acteurs fonctionne parfaitement. Ils arrivent à maintenir une certaine tension pendant tout le film, que ce soit entre eux ou bien avec les éléments climatiques.

Twister était un bon souvenir et j'ai redécouvert un film qui fonctionne toujours aussi bien. Et le "Une vache… une autre vache… non, je crois que c'est la même" me fait toujours autant rigoler. Il m'en faut par moment, je sais.