Le commando de pingouins est toujours à aider la maman ornithorynque à retrouver ses petits, chez elle, en Australie. Seulement, ils en sont encore loin. À bord de l'avion fabriqué par Kowalski, ils sont en plein orage, et l'avion de fortune n'a pas du tout été conçu pour subir de telles intempéries. Du coup, c'est le crash. Ils sont maintenant quelque part en Chine et vont se faire voler leur carte par "l'animal le plus dangereux de Chine". Mais ils ont besoin de leur carte. Donc, avant de poursuivre leur chemin, il leur faut la récupérer, coûte que coûte.
Je n'avais pas aimé le premier tome de Les pingouins de Madagascar en bande dessinée et ce deuxième tome est tout à fait dans la même veine. Donc, même punition. Les dessins sont beaucoup trop simplistes et le simple fait de dessiner des pingouins avec le bec ouvert ne peut pas suffire à matérialiser la surprise. Or, cet artifice est utilisé maintes fois, mais aucun émotion ne réussit à passer. L'histoire, quant à elle, poursuit sa course. Elle n'a rien d'originale et n'est pas vraiment menée tambour battant, mais on ne peut trop rien lui reprocher. Ce qui n'est pas le cas des dialogues qui sont comme les dessins : plats. Mais je pense qu'il doit y avoir aussi un problème de traduction. Parce que des fois cela s'enchaine sans avoir ni queue ni tête.
Préférez les films d'animation, parce que là, ils sont bons, les pingouins.