Yumi, Ren et Mao sont emprisonnée dans une ville qui ressemble à la leur... mais avec ses habitants en moins, et poursuivies par un homme à la cape noire qui n'a qu'une seule idée en tête : se débarrasser d'elles, des porteuses de sceaux. Seules, elle n'ont aucune chance contre Vulcain, l'assassin envoyé par les membres de Shadow-Matter. De son côté, Ichimasu est paralysé par un poison le laissant comme mort. Il est réveillé par deux esprits de porteuses de sceaux, décédées avant d'avoir sû ce qu'elles étaient, et qui refusent de voir une autre fille mourir pour les mêmes raisons.
Hum... comment dire... Mixim 11 avait très mal démarré, avec un mélange d'humour potache râté et de drague zarbi. Ce quatrième opus présente un aspect beaucoup plus shônen de baston, mais très confus dans sa mise en scène, contrairement à la série qui a fait connaître Nobuyuki Anzai, Flame of Recca. C'est bien dommage. Même si cela semble s'améliorer au fil des tomes. Le volume cinq m'en apprendra plus, pour savoir s'il faut encore espérer passer un bon moment de lecture, ou rester perplexe sur cette histoire qui manque foncièrement de structure et qui utilise des idées recyclées, comme des poupées/artefact avec des pouvoirs à débloquer (ohhhh, comme dans Mär !).
Bref, pour le moment, cette série me semble loin d'être indispensable à découvrir par rapport à d'autres shônens.