À Chôfu, les ingénieurs de la tour de contrôle se demandent pourquoi un très gros porteur comme le Hercules II atterrit sur leur piste. Ils ne peuvent savoir qu'il s'agit de l'appareil du groupe d'intervention Meteora de l'organisation Athos, chargée d'exécuter le châtiment divin. Du travail encore en perspective pour Athos, qui a déjà fort à faire. En effet, Sacha est en plein combat contre Wang Chen qui s'apprête à mettre la main sur l'un des circuits originels, la Magdala. Son cas semble désespéré, mais il est secouru par Mafuyu, revenue d'Allemagne, et bien décidée à combattre à ses côtés à l'aide de la Marie au glaive.
Vous aimez les mangas, les belles filles dévêtues (le fan service), la bagarre, les artefacts et pouvoirs étranges, le tout mélangé un peu n'importe comment ? Si oui, The Qwazer of Stigmata sera une série qui va vous plaire. Parce qu'il faut bien avouer que c'est un peu n'importe quoi, et que le scénario (si si, caché au fond à droite) est noyé dans la débauche de fan service, ce qui enlève quand même une grosse partie du sérieux de l'histoire de base, bien confuse malgré dix volumes déjà parus.
Bon, l'interdiction aux moins de seize ans est peut-être un peu exagérée, puisque ce qui est dévoilé n'est jamais en dessous de la ceinture. Néanmoins, elle a le mérite d'exister, et de faire réfléchir les parents sur la pertinence des choix des lectures de leurs adolescents. Il y a des séries pour tous les goûts, mais pas forcément toujours de bonne qualité. Sur The Qwazer of Stigmata... la qualité graphique est là, mais pas la mise en scène, très fouillis, ni le scénario pour la même raison. Quant à voir des belles filles, là... je ne peux le nier, mais c'est vraiment tout.
